05/05/2025 | Chantier Naval
2o25, année de la Mer

Une année pour replacer la mer au cœur des priorités.

Lancée à l’initiative du ministère de l’Éducation nationale, l’Année de la Mer 2025 est bien plus qu’une opération de sensibilisation. Elle marque une volonté forte : faire de la mer un sujet central dans l’éducation, l’économie, la géopolitique et l’innovation environnementale.

Dans un monde confronté aux défis du réchauffement climatique, à la montée du niveau des océans, à la pollution plastique ou encore à la pression croissante sur les ressources marines, cette mobilisation nationale et internationale est essentielle.

Le rendez-vous mondial : la Conférence des Nations Unies sur l’Océan à Nice !

Du 9 au 13 juin 2025, la ville de Nice accueillera la 3e Conférence des Nations Unies sur l’Océan.
C’est un événement d’envergure internationale, réunissant chefs d’État, scientifiques, ONG et acteurs du secteur maritime autour d’un objectif commun : protéger durablement les océans.

Pour nous, au Chantier Naval Port Fréjus, ce sommet représente une formidable opportunité de faire entendre la voix des acteurs de terrain, de la filière nautique et de tous ceux qui, comme nous, vivent au rythme de la mer.

Un cap commun : préserver, transmettre, innover.

L’Année de la Mer 2025, c’est l’occasion de rappeler que chacun a un rôle à jouer.
Plaisancier, constructeur, éducateur ou citoyen, nos gestes comptent !

Chez CNPF, nous restons fidèles à notre vision :

  • Préserver la Méditerranée en intégrant des pratiques plus respectueuses de l’environnement.

  • Transmettre notre expertise aux nouvelles générations.

  • Innover dans les matériaux, les équipements et les solutions durables pour le nautisme.

En mer comme à terre, chaque engagement compte.

L’Année de la Mer 2025 est une invitation à regarder les mers et océans autrement : non plus comme une simple ressource, mais comme un patrimoine vivant à comprendre, à protéger et à transmettre.

Au Chantier Naval Port Fréjus, cette vision nous anime depuis toujours. Parce qu’agir pour la mer, c’est une responsabilité locale, concrète, quotidienne.